Au Burundi, les traditions et les coutumes ancestrales gardent une poignée de fer sur la gestion des successions. Une famille n'ayant pas encore procédé au partage de l'héritage familial, garde à l'esprit qu'elle ne peut pas entreprendre des cultures pérennes comme les bananiers, les avocatiers, les caféiers, etc. Mais aussi, nombreux ne peuvent pas sécuriser leurs propriétés foncières, qui de fait, ne leur appartiendra qu’après le partage de l’héritage familial. Cette réali
Le constant est implacable : l’agriculture familiale a beau être cruciale puisqu’elle nourrit, pour
l’essentiel, l’humanité, elle n’est que rarement rentable-du moins sur un plan financier. Les conséquences sont immédiates : désertion des campagnes et concentration des fermes entre les mains de quelques-uns.
C’est pour contrecarrer cette évolution que les pays développés et émergents ont décidé d’apporter des subventions multiformes à
Le livre peut être acheté aux adresses ci-après
Au Burundi
– Siège ADIP: avenue Murembwe N° 16 Kigobe, tel 22259338
– Siège adisco: Quartier kiyange Population, tel 22257520//77257520
– Antennes d’adisco de Gitega et de Ngozi
En RDC
– A Bukavu: Plateforme Diobass du kivu
– A Kinshasa: CENADEP
En Belgique
– GRIP, Avenue de